Les années 70 et 80 ont été le terreau de toutes sortes d’éditions spéciales et de véhicules à tirage limité, mais aucun modèle n’a connu plus d’itérations de ce type que les camions C/K de troisième génération de 73 à 87 de Chevy et GMC. Ces modèles ont duré 14 années complètes sans aucun remaniement majeur, il était donc normal qu’ils donnent lieu à un nombre d’éditions spéciales supérieur à la moyenne pour une génération. Il y en avait tellement, en fait, que nous avons dû diviser l’article en deux parties.

À l’époque, les camions Chevy C/K étaient proposés en versions Scottsdale de base, Custom Deluxe de niveau intermédiaire et Silverado haut de gamme, tandis que les camions GMC, de bas en haut, correspondaient aux Sierra, Sierra Grande, High Sierra et Sierra Classic. La plupart de ces packs d’édition spéciale étaient limités à l’une de ces versions, mais ce n’était pas toujours le cas. Jetez un coup d’œil à ces séries limitées 73-87 de Chevrolet et GMC et plus encore, et voyez combien d’entre elles vous pouvez vous rappeler.

GMC Beau James

Année : 1975

Le Beau James a été conçu dans le but d’attirer des acheteurs plus haut de gamme dans le segment des camionnettes. C’est plutôt courant aujourd’hui avec tous les camions de luxe à 50 000 $, mais ce n’était pas si répandu il y a 40 ans. Comme il s’agit d’un pick-up pelucheux, le Beau James roule sur la finition haut de gamme Classic Sierra empilée avec des commodités telles que l’instrumentation complète, les sièges en velours, la climatisation, le régulateur de vitesse et plus encore.

On le reconnaît à sa peinture bleue/argentée distinctive, à son ornement spécial Beau James sur le capot, à ses tapis de sol uniques, à ses enjoliveurs en forme de fil de fer et à son décalque chromé Beau James sur le côté du lit arrière. Le Beau James était monté sur un châssis C15 de trois quarts de tonne avec une suspension de demi-tonne plus coussinée, et ne pouvait être commandé qu’avec les groupes motopropulseurs les plus puissants disponibles, à savoir le V8 350ci à 4 barils et le V8 454ci à 4 barils. Seulement environ 4 000 ont été commandés de cette façon.

GMC Gentleman Jim

Année : 1975

Le Beau James n’était pas le seul pick-up GMC haut de gamme de 1975. Le Gentleman Jim était le camion de choix pour ceux qui n’aimaient pas vraiment l’argent, mais voulaient plutôt de l’or – le noir étant la deuxième couleur. Achevé en finition Sierra Classic, il avait des tapis de sol similaires à son homologue bleu/argent (seulement en marron foncé avec l’inscription Gentleman Jim), et un intérieur brunâtre généralement haut de gamme avec des accents de grain de bois, des sièges baquets en vinyle et des pochettes de rangement en vinyle dans les portes.

Le Gentleman Jim était également équipé du climatiseur, de la radio AM/FM stéréo avec cassette 8 pistes, de la direction assistée, du volant inclinable, des freins assistés, des phares halogènes CIBIE série 95, etc. De plus, tout comme la Beau James, la Gentleman Jim était également montée sur un châssis C15 et pouvait être commandée exclusivement avec le plus puissant des V8. Pas plus de 2 500 ont été fabriqués.

Chevy “Spirit of 76” Edition

Année : 1976

Le thème du bicentenaire de l’Amérique était l’une des plus grandes affaires de l’année 1976, et les constructeurs automobiles ont naturellement exploité ce fait. Chevrolet, cependant, est resté plutôt réservé, ne mettant sur le marché que 500 des camionnettes “Spirit of 76”. Il semble que la plupart d’entre eux étaient blanc-bleu ou bleu-blanc, mais vous pouviez aussi tomber sur une version bleu clair avec une bande rouge-blanc-bleu sur le côté.

Ce qui était identique dans tous ces modèles, cependant, c’était un intérieur unique avec un siège en vinyle rouge-blanc-bleu et des emblèmes “Spirit of 76” sur les panneaux de porte. Elles étaient disponibles avec la transmission manuelle et automatique. D’après ce que j’ai pu établir, seul le V8 350ci était le facteur de motivation derrière eux.

Chevy et GMC édition olympique (Canada)

Année : 1976

Les Canadiens n’ont pas eu le camion “Spirit of 76”, mais ils ont eu quelque chose d’aussi cool et rare. Vous vous souviendrez que les Jeux olympiques d’été ont eu lieu à Montréal cette année-là, et GM a décidé de commémorer l’occasion avec des camionnettes d’édition spéciale. Le code OOC ZE2 comprenait une peinture blanche spéciale avec une bande de ceinture et un capot rouges, un décalque olympique sur la bande (à l’arrière pour GMC, au milieu pour Chevy) et un ornement de capot olympique unique. En dehors de cela, les Chevy et GMC Olympic Edition disposaient également d’une calandre, de rétroviseurs et d’un pare-chocs avant chromés, de moulures d’ouverture de roue et de roues de rallye (sauf sur les camions de 3/4 et d’une tonne). Pour autant que je sache, l’OOC ZE2 a également imposé la RPO Z62 qui se traduit par les garnitures GMC Sierra Grande et Chevy Scottsdale. Seulement 630 d’entre eux ont été commandés et ils avaient le V8 350ci de 165 chevaux sous ces capots rouges.

Vous remarquerez probablement les portes de gaz carrées sur le lit du camion GMC qui ont commencé vers 1979. L’ensemble du lit du camion GMC photographié a probablement été remplacé à un moment donné (j’ai trouvé des versions Chevy avec des portes à gaz carrées aussi). Cela arrive apparemment beaucoup dans les régions enneigées du Canada.

GMC Impact Edition

Année : 1976

Les pickups Impact ’76 sont souvent confondus avec les camions “Spirit of 76”, mais la seule chose qu’ils ont en commun (à part l’évidence), c’est l’année où ils étaient disponibles. De plus, ils ressemblent beaucoup au camion Indy 1975 en raison de la similitude des bandes. L’Impact Edition n’était disponible que sur les camions GMC d’une demi-tonne et de trois quarts de tonne, mais on pouvait choisir la propulsion arrière et la traction intégrale.

Pour en obtenir un, les acheteurs devaient opter pour l’ensemble de base Motortown Corporation qui comprenait des élargisseurs de roues à l’avant et autour de l’arrière, un barrage d’air avant, deux rétroviseurs extérieurs personnalisés et des rayures personnalisées. Les bandes spéciales sur le capot et les bandes latérales stroboscopiques étaient soit bleues et rouges, soit orange et rouges. A partir de là, vous pouviez l’empiler avec des options comme vous le jugiez bon.

Chevy Sport

Année : 1976-1981

Le package Sport de Chevrolet a bénéficié de la plus longue période parmi tous les camions GM d’édition spéciale 73-87. Au cours de ces cinq années, il a également beaucoup changé, tant dans son offre que dans son apparence. Le Pack Sport a débuté exclusivement sur les modèles à plateau, mais a ajouté plus tard les camions Chevrolet à plateau. Deux et quatre roues motrices étaient disponibles, ainsi que la plupart des moteurs. La Chevy Sport pouvait être commandée avec un six cylindres de 250ci ou un V8 de 350ci à deux barils en standard. Les options comprenaient le V8 4 barils 350ci, le V8 400ci (uniquement à quatre roues motrices) et le V8 454ci.

La seule chose dont un pick-up Chevy avait besoin pour obtenir le pack RPO Z77 Sport, était le trim RPO Z62 Scottsdale. Comme mentionné précédemment, le Chevy Sport a évolué et changé au fil des ans. Il a commencé avec de simples bandes blanches en 1976 et s’est terminé avec des carrosseries multicolores en 1981. D’autres goodies d’apparence comprennent un ornement de capot, des roues de rallye, un pare-chocs avant de luxe et bien d’autres, mais cela dépend surtout de l’année de production.

GMC Indy 500

Année : 1977

1977 a marqué la quatrième année consécutive (la cinquième au total après 1925) que GMC a fourni les véhicules de soutien officiels pour la 61e course annuelle Indy 500, ils ont donc décidé de marquer l’occasion avec encore une autre édition spéciale. GMC a commandé 500 répliques du camion d’assistance officiel, dans les deux styles de carrosserie, côté aile et côté large, équipées d’une plate-forme de 6 pieds et demi. La plate-forme de 8 pieds était réservée au seul style de carrosserie Wideside. Les camions C10 et K10 ont tous deux fait l’objet d’une conversion Indy 500 en 1977.

Ils arboraient tous une peinture noire et blanche avec des rayures rouges et des décalques officiels Indy 500. De plus, GMC a probablement commandé 500 camions Indy 500 3/4 tonnes 1976 et 500 autres pick-up demi-tonne 1975. En outre, vous pouviez acheter certains des camions officiels d’autres années également (notamment 1974, 1980, 1981, 1983 et 1984), auprès des concessionnaires participants. Peu d’entre eux, quelle que soit l’année, ont survécu jusqu’à ce jour.

GMC Desert Fox

Année : 1977

Au moins l’un des plus beaux camions de l’édition spéciale de GMC, le Desert Fox était disponible à travers les styles de carrosserie fenderside et wideside, les configurations 2WD et 4WD, et les modèles à empattement court et long. Il était également disponible avec le GMC Jimmy. En dehors de la plus cool des peintures qui consiste en une base Buckskin et cinq couleurs de rayures différentes, le Desert Fox offrait la barre supérieure avec deux lampes CIBIE, des roues sport PA6, un intérieur rouge ou buckskin, la climatisation, la direction inclinable, le régulateur de vitesse, etc.

Alors que la plupart de ces éléments étaient optionnels, la peinture et les rayures, la barre supérieure et les roues sport étaient des équipements obligatoires venant avec le pack Hickey Enterprises. Pour autant que nous le sachions, le pick-up GMC Desert Fox pouvait être commandé avec tous les moteurs à essence disponibles.

GMC Sarge

Année : 1977

Le pack GMC Sarge n’était pas limité aux seuls pick-up puisqu’il apparaissait dans la camionnette GMC Vandura et le camion GMC General classe 8. Dans le pick-up GMC, cependant, l’édition Sarge était strictement limitée aux bourreaux de travail de trois quarts de tonne avec deux ou quatre roues motrices.

La peinture argentée cool était complétée par une bande multicolore à trois tons brun-rouge-orange sur le côté, le lettrage Sarge sur le panneau de custode arrière et l’ornement de capot à l’avant. Les jantes en aluminium forgé n’ont fait qu’adoucir davantage le comportement de col bleu de Sarge. À l’intérieur, Sarge est venu avec la radio CB et la stéréo AM/FM à 8 pistes, et le volant sport gainé de cuir.

GMC Street Coupe

Années : 1978-1980

Le Street Coupe n’était pas limité aux pick-up GMC fleetside et wideside exclusivement. Il pouvait aussi être commandé avec le Jimmy et le Suburban. Bien que proposé sous plus d’une plaque de nom et pendant plus d’une année, Street Coupe est resté un modèle d’édition spéciale rare. Reconnaissable à sa peinture bicolore ZY5, le Street Coupe présentait également l’ornement de capot et les rayures reconnaissables. Il était disponible avec un V8 de 350ci et un V8 de 454ci développant respectivement 140 et 205 ch.

Comme son nom l’indique, le Street Coupe était plus confortable sur les routes que hors des routes. En outre, c’était une affaire coûteuse par rapport à d’autres camions de travail de l’époque. C’est peut-être la raison pour laquelle il est resté plutôt rare. Au moins, il a été à la hauteur en termes de luxe, en quelque sorte. Elle devait le faire afin de justifier son prix élevé qui se situait souvent dans un territoire à 5 chiffres.

GMC Amarillo

Année : 1979

L’Amarillo était une offre de GMC durant l’année 1979, et elle pouvait être commandée sous trois formes : l’Amarillo de base, l’Amarillo GT légèrement plus haut de gamme et l’Amarillo Cowboy Cadillac haut de gamme. L’offre de base comprenait la peinture trois tons jaune-orange-rouge semblable à un arc-en-ciel avec des rayures, des décalques d’identification Amarillo sur les panneaux de custode arrière et des pneus LR 60 BF Goodrich. En passant à la GT, on ajoutait des pneus LR 70, des jantes à ailettes, une prise d’air avant, un spoiler de toit, des tuyaux latéraux chromés et un volant gainé de cuir. Enfin, la Cadillac Amarillo Cowboy comprenait la plupart de ces éléments, ainsi qu’un intérieur plus luxueux avec une sellerie, des panneaux de porte, une garniture de toit, une moquette et un siège “truckers lounge” assortis. Amarillo a été construit par American Coach Corporation de Warren, Ohio, et a coûté entre 450 $ et 2 300 $ en fonction de l’offre de choix.

De nombreux magazines ont testé l’Amarillo à l’époque. Hot Rod Magazine a réalisé un quart de mille de 15,6 secondes avec elle, ce qui était le meilleur temps de camionnette de l’époque – mieux même que le puissant Lil’ Red Express. Tout cela était possible grâce au V8 454ci amélioré de 240 chevaux et aux radiaux BF Goodrich déjà mentionnés.

GMC Mule

Année : 1979

GMC Mule est l’un des camions d’édition spéciale les plus mystérieux jamais sortis de la GM. Il n’était apparemment disponible que par l’intermédiaire de l’un des 19 concessionnaires de camions GMC Chicagoland, et seulement pour la période de temps limitée aussi. C’est la raison principale pour laquelle elle est restée obscure à ce jour. Tous les combos de pick-up GMC étaient éligibles pour la conversion en Mule. Outre l’évident logo Mule sur le hayon arrière et le panneau de custode avant, tous ces camions étaient équipés d’enjoliveurs de roues à rayons spéciaux, de rayures jaunes et de rails latéraux en chêne massif rappelant les wagons d’autrefois. Malheureusement, nous attendons toujours que l’un d’eux apparaisse dans une grange ou quelque part.

Chevy Rollin’ Rebel

Année : 1981

Rollin’ Rebel a également été commandé par un fabricant tiers. Choo Choo Customs de Chattanooga, Tennessee a collaboré étroitement avec Chevrolet à de nombreuses occasions et le pick-up 1981 à empattement court ici est l’un de ces projets.

Complétée d’une peinture argentée particulière avec des graphismes maladroits, la Rollin’ Rebel arborait également un spoiler de toit, des roues spéciales et des pneus radiaux, un barrage d’air avant, des marchepieds latéraux aérodynamiques et des pare-chocs chromés. Elle ne pouvait être commandée qu’avec le pack Custom Deluxe, une cabine simple et un moteur V8 305ci. L’intérieur était également unique. Outre la plaque numérotée sur le tableau de bord, la Rollin’ Rebel était dotée d’une sellerie rouge unique et d’inserts correspondants sur le tableau de bord. Il n’y en avait pas plus de 200 au total.

Chevy Sno Chaser

Année : 1984

Disponible uniquement dans les États enneigés et autres régions hivernales, le Sno Chaser est aussi rare que les camionnettes en édition spéciale. Étant commercialisé dans les états enneigés, il est naturel que le Sno Chaser soit proposé avec une transmission intégrale obligatoire. Il avait également une peinture bicolore séparée par une bande, la peinture inférieure étant une couche protectrice. Pour ce qui est du reste de son look, le Sno Chaser se distinguait grâce au becquet de cabine monté sur le lit et aux rails de cabine latéraux.

Le nombre exact de ces camions d’édition spéciale à tirage limité est inconnu, mais ils étaient extrêmement rares au départ. De plus, vous aurez du mal à en trouver un aujourd’hui puisqu’ils rouillent beaucoup plus rapidement par temps humide et froid, ce pour quoi ils ont été conçus en premier lieu.

GMC California Sundancer

Année : 1987

California Sundancer était fondamentalement l’opposé du Sno Chaser. Comme son nom l’indique, elle était exclusivement proposée dans le sud de la Californie où la scène des surfeurs était en plein essor. La peinture jaune vif ne pouvait pas mieux convenir, et elle était complétée par des inserts gris gunmetal et des rayures bleues.

Comme un camion sportif par vocation, le California Sundancer était équipé de pneus radiaux sport BF Goodrich, de roues Mag Sprinter Western de 15 pouces, d’amortisseurs Bilstein et de pare-chocs avant et arrière Smittybilt à double tube. Les équipements optionnels comprenaient des phares de conduite, un toit ouvrant et un arceau de sécurité (dans un camion sport ?).

Chevy Blazer Chalet et GMC Jimmy Casa Grande

Années : 1976-1977

Pas exactement des éditions spéciales, mais le Chalet et surtout la Casa Grande étaient extrêmement rares. Environ 1 780 Chevy Blazer Chalet ont été produits entre avril 1976 et janvier 1977, tandis que les chiffres du GMC Jimmy Casa Grande étaient considérablement inférieurs. Les deux camping-cars étaient cependant pratiquement identiques en termes d’offre. Le V8 350ci standard et le V8 400ci en option étaient les moteurs, tandis que les transmissions étaient une manuelle à 3 vitesses et une automatique Turbo Hydra-Matic à 4 vitesses. En outre, la plupart d’entre eux étaient des modèles conventionnels à traction intégrale, tandis que ceux dotés de l’automatique pouvaient être commandés avec une traction intégrale à temps plein en option.

Le Chalet et la Casa Grande arboraient deux lits superposés de série ou quatre en option, une table de dînette avec deux canapés pour quatre personnes, un évier en acier inoxydable, une cuisinière, etc. Ils coûtaient aussi très cher. Ils coûtaient également très cher. Leur prix se situait rarement dans les chiffres prévus à quatre chiffres, car les équipements optionnels faisaient rapidement grimper les étiquettes dans une catégorie à cinq chiffres. C’est peut-être l’une des raisons pour lesquelles si peu de gens ont décidé d’en acheter une. Les autres étaient, comme vous pouvez l’imaginer, pas très pratiques, un poids élevé, une faible consommation d’essence, etc.

GMC Royal Sierra

Années : 1976-1979

La Royal Sierra n’était pas non plus une édition spéciale en soi, mais cela ne la rend pas plus rare que les autres modèles à tirage limité. En fait, on pense que seulement environ 500 d’entre eux ont été commandés de cette façon. La Royal Sierra n’est en fait rien d’autre qu’une version spéciale proposée dans le cadre d’une promotion de fin d’année. Elle est analogue à la Chevy Bonanza, beaucoup plus répandue.

Toute personne commandant une garniture Royal Sierra a eu la possibilité de la superposer à des groupements d’options d’apparence et de commodité à prix réduit. C’est pourquoi ce sont généralement des modèles légèrement haut de gamme, même si à peu près toutes les options des camions GMC auraient pu être commandées avec. Ce qu’il fait, c’est qu’il remplace les autocollants Chevy Scottsdale/GMC Sierra Grande. En d’autres termes, la finition RPO Z62 continuait à servir de base, mais sous un autre nom. Cette pratique a été abandonnée après 1979, tout comme la garniture Z62 obligatoire. Les intérieurs Z84 ou YE9 étaient également disponibles à prix réduit à partir de 1980, mais ils n’ont plus jamais été nommés différemment.

GMC Foxy Sierra

Années : ?

On sait très peu de choses sur la GMC Foxy Sierra, à part le fait qu’il s’agissait d’une édition spéciale 73-87 fabriquée par Alpha Vehicles Inc. de South Elkhart, dans l’Indiana. Apparemment, les gens d’Alpha n’étaient pas très impressionnés par l’ensemble de base de la GMC Sierra et ont décidé d’épicer les choses, d’où le nom. La Foxy Sierra était dotée d’une carrosserie spéciale avec des bandes sur le capot et les côtés, et d’un intérieur tout aussi unique avec une sellerie spéciale et une console à glacière entre les sièges. Une radio CB et un système AM/FM à 8 pistes étaient inclus dans l’ensemble, tandis que l’arceau de sécurité monté sur le lit et les feux de position pouvaient être commandés en option. Alpha Industries a recommandé de commander une future conversion GMC Sierra avec un V8 plus petit, une carrosserie à flanc de coque, une couleur unie et une transmission automatique. Combien d’entre eux ont été fabriqués ou combien ont survécu est encore un mystère.

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