La dégénérescence corticobasale est une entité pathologique. Les phénotypes cliniques présentés incluent le syndrome corticobasal (SCB), le syndrome spatial comportemental frontal, l’aphasie, le syndrome de type paralysie supranucléaire progressive (PSPS) et un phénotype à prédominance cognitive souvent confondu avec la maladie d’Alzheimer (MA). Le traitement de la MH est symptomatique, notamment en raison des études neuroprotectrices récemment négatives. Étant donné la progression constante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, tous les patients intéressés devraient avoir la possibilité de s’inscrire à des essais cliniques de neuroprotection dès qu’ils se présentent. En ce qui concerne le traitement symptomatique, les options thérapeutiques sont nécessairement basées sur des preuves provenant d’autres troubles, étant donné le manque d’études sur la maladie de Crohn. Chez les patients atteints de SCB et de PSPS, le parkinsonisme est traité par lévodopa/carbidopa. Ce traitement présente généralement des avantages modestes et transitoires dans le meilleur des cas et n’entraîne souvent aucune amélioration. Les injections de toxine botulique sont le traitement de choix pour la dystonie des membres. Le clonazépam et le lévétiracetam sont couramment utilisés pour la myoclonie. La physiothérapie est un élément important du traitement de la motricité, notamment pour les stratégies de prévention des chutes et l’évaluation des dispositifs d’assistance. On ne sait pas si les médicaments tels que les inhibiteurs de la cholinestérase ou la mémantine ont un rôle à jouer dans la MH, étant donné les diverses réponses décrites dans les phénotypes et maladies apparentés. Le traitement des symptômes comportementaux associés à la maladie de Crohn est essentiel pour tenter de traiter les symptômes pour lesquels nous disposons de bonnes interventions pharmacologiques et pour espérer améliorer la qualité de vie. Les soins de soutien généraux sont importants, notamment l’évaluation des plaies liées à la dystonie ou à l’immobilité, la surveillance de la dysphagie et l’identification des besoins en matière de services de soutien. Enfin, comme pour d’autres maladies neurodégénératives à progression implacable, il est essentiel de fournir un soutien à la famille et aux soignants et d’évaluer à quel moment les services de soins palliatifs serviront le mieux le patient.
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