- Seuls des professionnels de la santé mentale certifiés, tels que des psychologues cliniques ou des psychiatres, peuvent identifier et diagnostiquer le TOCR de manière fiable.
- Je suis obsédé par ma petite amie / mon petit ami / mon partenaire parce que je crains qu’il / elle ne
- soit pas assez beau(se)
- pas assez social(e)
- pas assez stable émotionnellement
- Je ne suis pas sûr que c’est le bonJe ne suis pas sûr qu’il/elle me convienneJe regarde d’autres hommes/femmesJe suis attiré(e) par d’autres hommes/femmesJe ne suis pas sûr(e) qu’il/elle m’aime
- Mais toutes les personnes qui ont de telles pensées ne souffrent pas de TOCR !
Seuls des professionnels de la santé mentale certifiés, tels que des psychologues cliniques ou des psychiatres, peuvent identifier et diagnostiquer le TOCR de manière fiable.
Les personnes atteintes de ROCD ont tendance à utiliser des phrases comme
Je suis obsédé par ma petite amie / mon petit ami / mon partenaire parce que je crains qu’il / elle ne
soit pas assez beau(se)
pas assez stable émotionnellement
Ça ressemble à… Moi
Or
Je ne suis pas sûr que c’est le bonJe ne suis pas sûr qu’il/elle me convienneJe regarde d’autres hommes/femmesJe suis attiré(e) par d’autres hommes/femmesJe ne suis pas sûr(e) qu’il/elle m’aime
Semble à moi
Mais toutes les personnes qui ont de telles pensées ne souffrent pas de TOCR !
Sur la base de notre expérience clinique et de nos recherches, nous avons construit les mesures d’auto-évaluation suivantes pour aider les professionnels de la santé mentale à évaluer le ROCD.
Le ROCI (Doron et al., 2012)
(Peut aider à l’évaluation des symptômes du CO centré sur la relation)
Les énoncés suivants décrivent la façon dont les gens peuvent vivre les relations intimes. Nous sommes intéressés par la façon dont vous vivez les relations intimes. Veuillez évaluer dans quelle mesure ces pensées et comportements décrivent votre expérience des relations intimes.
Les chiffres font référence aux étiquettes verbales suivantes :
Pas du tout |
Un peu |
Modérément |
Très souvent |
.
Très souvent |
La pensée que je n’aime pas vraiment mon partenaire me hante | |||||||
Je trouve facile de rejeter mes doutes sur mon partenaire | |||||||
Je doute constamment de ma relation | |||||||
Je trouve difficile d’écarter les doutes concernant l’amour de mon partenaire pour moi | |||||||
Je vérifie et revérifie si ma relation se sent “bien” | |||||||
Je suis constamment à la recherche de preuves que mon partenaire m’aime vraiment | |||||||
J’ai l’impression que je dois me rappeler encore et encore pourquoi j’aime mon partenaire | |||||||
Je suis sûr que mon partenaire m’aime | |||||||
Je suis extrêmement perturbé par des pensées que quelque chose ne “va pas” dans ma relation | |||||||
Je doute continuellement de mon amour pour mon partenaire | |||||||
Je demande sans cesse à mon partenaire s’il/elle m’aime vraiment | |||||||
Je cherche fréquemment à être rassuré sur le fait que ma relation est “bonne” | |||||||
Je suis constamment dérangé par la pensée que mon partenaire ne veut pas vraiment être avec moi | |||||||
Je ressens le besoin de vérifier à plusieurs reprises combien j’aime mon partenaire | |||||||
Codage
L’amour pour le partenaire : 1,7,10,14
La “justesse” de la relation:3,5,9,12
Etre aimé par le partenaire:4,6,11,13
Le PROCSI (Doron et al., 2012)
(Peut aider à l’évaluation des symptômes du CO centrés sur le partenaire)
Les énoncés suivants décrivent la façon dont les gens peuvent vivre les relations intimes. Nous sommes intéressés par la façon dont vous vivez les relations intimes. Veuillez évaluer dans quelle mesure ces pensées et comportements décrivent votre expérience des relations intimes.
Les chiffres font référence aux étiquettes verbales suivantes :
pas du tout |
un peu |
modérément |
beaucoup |
très beaucoup |
Je suis satisfait du niveau de moralité de mon partenaire | |||||||
J’évalue à plusieurs reprises le fonctionnement social de mon partenaire | |||||||
Je me demande constamment si mon partenaire est suffisamment profond et intelligent | |||||||
Je suis satisfait par l’apparence de mon partenaire | |||||||
Je suis troublé(e) par des pensées sur les compétences sociales de mon partenaire | |||||||
Je suis constamment dérangé par des des doutes sur le niveau de moralité de mon partenaire | |||||||
Je trouve difficile d’écarter l’idée que que mon partenaire est mentalement déséquilibré | |||||||
Je cherche souvent à être rassuré (par des amis, de la famille, etc.) pour savoir si mon partenaire est assez intelligent | |||||||
Lorsque je suis avec mon partenaire, j’ai du mal à ignorer ses défauts physiques | |||||||
Je compare sans cesse la capacité de mon partenaire à “accomplir quelque chose” dans la vie à celle d’autres hommes/femmes | |||||||
Je ne peux m’empêcher de comparer le niveau d’intelligence de mon partenaire à celui d’autres hommes/femmes | |||||||
Je trouve difficile de contrôler ma tendance à comparer les réponses émotionnelles de mon partenaire à celles d’autres hommes/femmes | |||||||
La que mon partenaire n’est pas assez intelligent me dérange beaucoup | |||||||
Je suis constamment dérangé par des pensées concernant les défauts de l’apparence physique de mon partenaire | |||||||
La pensée que mon partenaire n’est pas une personne “bonne et morale” me dérange quotidiennement | |||||||
Je me sens bien à propos du niveau d’intelligence de mon partenaire | |||||||
Je continue à chercher des preuves que mon partenaire est suffisamment moral | |||||||
Les pensées concernant le mauvais fonctionnement de mon partenaire dans les situations sociales me dérangent quotidiennement | |||||||
Chaque fois que je pense à mon partenaire, je pense au défaut de son apparence | |||||||
J’examine constamment le niveau de moralité de mon partenaire | |||||||
Je continue d’essayer de compenser les déficiences sociales de mon partenaire | |||||||
Je suis gêné par des doutes concernant la stabilité émotionnelle de mon partenaire | |||||||
Je suis satisfait des compétences sociales de mon partenaire | |||||||
J’examine sans cesse si mon partenaire agit de manière étrange | |||||||
Je suis extrêmement extrêmement préoccupé par l’évaluation de la capacité de mon partenaire à “faire quelque chose de lui-même/elle-même” | |||||||
Je ressens un besoin incontrôlable de comparer les défauts physiques de mon partenaire à ceux d’autres hommes/femmes | |||||||
Lorsque je pense à mon partenaire, je me demande s’il/elle est le genre de personne personne qui peut réussir dans le monde moderne | |||||||
Je continue à chercher des preuves de la réussite professionnelle de mon partenaire |
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